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Résumé :
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PARLER DES PAUVRES, CONSISTE PLUS A S' INTERESSER AUX BESOINS DE LA COMMUNAUTE QUE DE S' INTERESSER A LEURS PROPRES BESOINS. LES REFLEXIONS SUR LA PAUVRETE NE REFLETENT PAS LA CONDITION REELLE DES PAUVRES, MAIS CE QUE CHAQUE EPOQUE CONSIDERE COMME SON MALHEUR. LA PAUVRETE EST ENVISAGEE COMME LA MATERIALISATION DES DESORDRES DE CHAQUE SOCIETE. LE DON DU PAUVRE AGIT COMME UN FACTEUR D' EXCLUSION - LE GESTE DE SOLIDARITE, LOIN DE FAIRE DU PAUVRE UN SEMBLABLE, LE DISTINGUE DANS LE MOUVEMENT GENERAL CAR IL N' A PAS APPORTER DE CONTRIBUTION. DANS LE MEME MOUVEMENT D' ASSISTANCE, LE LIEN SOCIAL EST DEMONTRE ET AUSSI NIE PAR LE FAIT QUE LE PAUVRE EST MIS A PART. SI LA QUESTION DU DON AU PAUVRE EST ENCORE ABORDEE PAR LE POLITIQUE, IL Y A VOLONTE QU' IL PRENNE LA FORME D' UN ECHANGE AUSSI ARTIFICIEL SOIT-IL. ( EX : L' ATTRIBUTION DU RMI, CONSEQUENCE D' UNE CONVENTION MOBILISANT CELUI QUI EST AIDE ).
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