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Résumé :
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La violence des quartiers n’est pas uniquement liée à l’échec d’une politique urbaine, il faut y voir d’une façon plus globale, l’association du chômage des adultes, de l’inactivité des jeunes, d’une absence de structures aussi bien familiales que sociales, culturelles et religieuses qui ont pour corollaire la montée de la violence, l’intolérance. Le rapport remet en cause la politique de la ville en lui reprochant d’incriminer uniquement " les erreurs de l’urbanisme et de l’aménagement ". 7 orientations sont proposées : restauration de l’autorité publique pour rétablir la sécurité ; préservation des traditions d’intégration ; établissement d’une solidarité géographique ; resserrement de la cohésion sociale ; recherche d’une unité de direction pour la mise en œuvre de la politique de la ville ; mieux assurer le rôle des grandes institutions (école ; justice ; police ; travail social) ; renouveler l’effort budgétaire de l’État.
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