Résumé :
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L'auteur propose de classer la violence institutionnelle selon trois niveaux :- le premier : le travail est fait à minima, le temps de travail est détourné. Les faillites de l'encadrement, l'absence de système d'auto-régulation en sont le plus souvent en cause ;- le second : les activités fonctionnent, les actes dispensés mais sans rapport entre eux ;- le troisième : sous couvert d'emploi du temps difficile à établir, des rivalités de compétences et de surenchère sur le bien de l'enfant, celui-ci se trouve l'enjeu des luttes de pouvoir et de préséances.
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