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Résumé :
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Ce dossier s'interroge sur l'optimisation de la commande de formation. La loi sur l'orientation et la formation (24 septembre 2009) fait du marché de la formation un marché ouvert qui s'accompagne de problématiques telles que la libre concurrence, la notion de «service public d'intérêt général», les services publics régionaux de formation (SPRF), la déclaration d'activité, la valeur d'agrément ou de label, le bilan pédagogique et financier, etc. Il apparaît que la délégation de service public et le mandatement sont des modalités de financement correspondant une «conception systémique de la formation des adultes». Deux articles traitent des conséquences de l'accord national interprofessionnel (Ani) sur l'offre de formation : des parcours personnalisés (formation modulaire), une communication améliorée, renforcer le rôle de «conseil» des Organismes paritaires collecteurs agréés (OPCA), le mode d'imputation des dépenses, d'achat, d'accès, etc. Les avantages du développement de «services d'intérêt économique général» (SIEG) pour commander les formations s'accompagnent de la problématique de l'hétérogénéité des politiques de marché (concurrence). La Chambre Syndicale des Formateurs-Consultants (CSFC) suit trois axe de travail : une offre de formation personnalisée, la professionnalisation et la justification des compétences des formateurs, ainsi que la certification qualité. Un article s'intéresse aux procédures de contrôle de la formation professionnelle : Qui contrôle ? Qui est contrôlé ? Quelle est son efficacité ? Le dossier pratique présente deux OPCA : le réseau Opcalia et le Fongecif. Quelle politique d'achat de formation faut-il mettre en place ? (exemple de la politique du Conseil régional Poitou-Charentes). Quel est le rôle d'un OPCA dans la labellisation des organismes de formation ?
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